REPLAY
Schneider Electric
Manager de production
Créneau Pôle Emploi
4 filles pour 100 garçons. C’est le ratio en DUT génie électrique et informatique industrielle lorsque Lydia l’intègre. Pas de soucis ; il en faut plus pour la faire renoncer. « Je savais que les matières, scientifiques notamment, allaient me plaire et que j’allais faire de la technique et de la mise en application. » Ce qu’elle vise, c’est un parcours d’ingénieur. Mais la naissance de son premier enfant l’incite à faire un break dans ses études.
Dès que possible, elle repart en licence pro technico-commerciale, en alternance dans un poste d’assistante chargé d’affaires pour l’international. Une façon de conjuguer les deux cordes déjà à son arc. Au bout de 3 ans, elle se pose des questions.
« J’avais fait le tour de mon poste et de l’entreprise dans laquelle je travaillais, mon souhait était d’évoluer » raconte-t-elle. «Je savais que je pouvais en faire plus, aller plus loin dans les études. » Sur un coup de tête elle passe les concours des écoles de commerce et intègre Montpellier Business School. En deuxième année, elle intègre l’usine Schneider Electric d’Alès qui cherche un alternant en contrôle de gestion. « Je connaissais la marque et les produits, et Schneider m’a permis d’apprendre un nouveau métier celui de contrôleur de gestion industriel. »
Son diplôme en poche, elle enchaîne différents jobs, dans différentes entreprises, pour revenir en septembre 2021 à 32 ans, au poste de REF (Responsable Equipe de Fabrication) à Alès.
Un sacré défi qu’elle a accepté après une demi-journée de réflexion ! Elle est à la tête d’une équipe d’une quarantaine de personnes et a la responsabilité de 3 gammes de produits.
« C’est très différent de mes postes en finance ou en contrôle de gestion. En finance, on suit le business à travers les chiffres ; en production on le vit. Quand j’arrive le matin, je ne sais jamais de quoi ma journée sera faite. » Sortir les produits en temps et en heure pour servir les clients est loin d’être toujours évident. « Parfois mes journées sont difficiles : problèmes d’approvisionnement, situation sanitaire, problématiques humaines… avec des décisions à prendre rapidement. Mais c’est un job complet et passionnant. J’adore ce que je fais ! »
Manager de production
rencontre PÔLE EMPLOI
Créneau Pôle Emploi
4 filles pour 100 garçons. C’est le ratio en DUT génie électrique et informatique industrielle lorsque Lydia l’intègre. Pas de soucis ; il en faut plus pour la faire renoncer. « Je savais que les matières, scientifiques notamment, allaient me plaire et que j’allais faire de la technique et de la mise en application. » Ce qu’elle vise, c’est un parcours d’ingénieur. Mais la naissance de son premier enfant l’incite à faire un break dans ses études.
Dès que possible, elle repart en licence pro technico-commerciale, en alternance dans un poste d’assistante chargé d’affaires pour l’international. Une façon de conjuguer les deux cordes déjà à son arc. Au bout de 3 ans, elle se pose des questions.
« J’avais fait le tour de mon poste et de l’entreprise dans laquelle je travaillais, mon souhait était d’évoluer » raconte-t-elle. «Je savais que je pouvais en faire plus, aller plus loin dans les études. » Sur un coup de tête elle passe les concours des écoles de commerce et intègre Montpellier Business School. En deuxième année, elle intègre l’usine Schneider Electric d’Alès qui cherche un alternant en contrôle de gestion. « Je connaissais la marque et les produits, et Schneider m’a permis d’apprendre un nouveau métier celui de contrôleur de gestion industriel. »
Son diplôme en poche, elle enchaîne différents jobs, dans différentes entreprises, pour revenir en septembre 2021 à 32 ans, au poste de REF (Responsable Equipe de Fabrication) à Alès.
Un sacré défi qu’elle a accepté après une demi-journée de réflexion ! Elle est à la tête d’une équipe d’une quarantaine de personnes et a la responsabilité de 3 gammes de produits.
« C’est très différent de mes postes en finance ou en contrôle de gestion. En finance, on suit le business à travers les chiffres ; en production on le vit. Quand j’arrive le matin, je ne sais jamais de quoi ma journée sera faite. » Sortir les produits en temps et en heure pour servir les clients est loin d’être toujours évident. « Parfois mes journées sont difficiles : problèmes d’approvisionnement, situation sanitaire, problématiques humaines… avec des décisions à prendre rapidement. Mais c’est un job complet et passionnant. J’adore ce que je fais ! »